Ça fait un moment que je m’intéresse à OpenStack, notamment à cause du buzz que cette plateforme dans la communauté IT (dans le sillage de la vague « cloud computing »).

Si faire le buzz ne veut pas dire qu’un produit est intéressant, il n’y a portant qu’en se renseignant dessus qu’on peut le savoir ;-).

Qu’est ce que c’est ?

Pour résumer, OpenStack est une plateforme open-source initialement développée par RackSpace et la NASA. Les gros acteurs du marchés (RedHat, IBM, HP, OVH, … la liste est longue) ont joués le jeu et certains ont fortement contribués, ce qui en fait maintenant un produit très connu.

OpenStack permet -dans des contextes qui me semblent relativement spécifiques- de déployer des infrastructures en mode IaaS (Infrastructure as a Service).

Les développeurs peuvent ainsi « commander » des instances de VMs de manière automatiques (comprenez sans l’aide des administrateurs systèmes) dans la limites des quotas qu’on leur a imposés et pouvant même faire l’objet d’une facturation au réel de la consommation de chaque projet.

Autant dire qu’à part pour des hébergeurs et pour des grands groupes qui disposent de nombreuses équipes de développement travaillant sur des projets sur une infrastructure mutualisée où l’automatisation et la gestion des ressources apporte un vrai plus, l’intérêt d’un tel produit est discutable pour une entreprise plus traditionnelle.

Le cours gratuit ! Le cours gratuit !

Revenons en au but de ce post ;-).

Pour ceux que ça intéresse, RedHat offre donc un accès à 30 jours pour son cours en ligne sur le cloud, OpenStack et plus particulièrement leur propre solution, à savoir RHEL OpenStack Platform.

Il suffit de s’enregistrer sur ce lien et vous aurez accès au cours en ligne.